En 1950, Madame Renée Roussiere, esthéticienne D.E, ouvre son cabinet d’esthétique à Tours (37). Très vite, elle constate l’impact de ses soins sur le moral de ses clientes.
En 1966, elle décide de faire du bénévolat dans les services psychiatriques du CHRU de Tours. Quatre ans plus tard, elle obtient l’officialisation de son poste rémunéré.
Après cela, elle continue d’intervenir dans divers établissements médico-sociaux à titre bénévole et devient alors convaincue de la nécessité d’être formé pour intervenir auprès de personnes souffrantes ou fragilisées.
On assiste à l’émergence d’un nouveau métier : socio-esthéticien(ne).
Ainsi, en 1978 Mme Roussière crée le CODES*.
Cette formation fût la première en France à permettre d’obtenir le titre de socio-esthéticien(ne).
La socio-esthétique est donc devenue une spécialisation du métier d’esthéticien(ne) et a pour but d’aider, d’accompagner les personnes fragilisées grâce à l’outil esthétique.
*CODES : Cours d’esthétique à option humanitaire et sociale – www.socio-esthetique.fr